Un hélicoptère militaire des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) s’est écrasé mercredi matin sur la piste de l’aéroport de Ndolo, à Kinshasa. Malheureusement, les trois membres de l’équipage ont tous perdu la vie, selon des informations confirmées par la Régie des voies aériennes (RVA).
L’hélicoptère transportait trois personnes : le pilote, le copilote et un technicien. L’accident s’est produit vers 11h, heure locale, lorsque l’appareil a violemment touché le sol. Les trois membres de l’équipage étaient des expatriés. D’après les premiers rapports, le pilote est resté coincé dans l’hélicoptère à cause de sa ceinture de sécurité et est mort sur place.
Ce drame survient alors que les FARDC utilisent régulièrement des hélicoptères pour diverses missions, en particulier pour lutter contre les groupes armés qui opèrent dans le pays. L’aéroport de Ndolo, qui est le deuxième aéroport de Kinshasa, a été le lieu de cet accident tragique, ce qui soulève des questions sur la sécurité des vols militaires en RDC.
Certains observateurs ont exprimé des inquiétudes au sujet de la maintenance et de la sécurité des équipements militaires en RDC. Selon eux, les autorités devraient mener des inspections plus strictes et prendre des mesures pour assurer la sécurité des opérations aériennes. Le fait que les membres de l’équipage étaient des expatriés pose aussi des questions sur leur rôle dans les opérations militaires du pays.
Après cet accident, des réformes sont nécessaires pour améliorer la sécurité aérienne en RDC. Le gouvernement congolais devra probablement revoir ses politiques de maintenance et de contrôle des appareils afin d’éviter de telles tragédies à l’avenir. Des enquêtes vont être ouvertes pour déterminer les causes exactes du crash et proposer des solutions. La priorité est de s’assurer que les opérations sont sûres afin d’éviter de futurs accidents.