Les pays signataires s’alignent sur la vision de John Kerry, l’envoyé spécial de la Maison Blanche sur le climat, affirmant que la neutralité carbone d’ici 2050 est impossible sans l’énergie nucléaire. Emmanuel Macron, en ambassadeur du savoir-faire français, proclame haut et fort le retour de l’énergie nucléaire sur la scène mondiale.
Dans cette perspective, le Ghana se démarque en investissant dans le nucléaire, illustrant la diversité des adhérents. Toutefois, les absences notables de la Chine et de la Russie, acteurs majeurs dans le domaine des centrales, soulèvent des interrogations.
Les signataires, mentionnant le Giec, se réfèrent à un rapport prévoyant un triplement de la production nucléaire d’ici 2050. Cependant, ce scénario coexiste avec une augmentation significative des énergies renouvelables, soulignant les défis et les options multiples pour atteindre ces objectifs.
Le défi majeur consiste à trouver un équilibre entre le nucléaire et les énergies renouvelables. L’engagement du Japon, malgré la tragédie de Fukushima, et celui de l’Ukraine, confrontée à des défis énergétiques liés à la crise russo-ukrainienne, démontrent les complexités inhérentes à cette transition.