L’UA et la Cédéao unies contre la tentative de coup d’État au Niger
Mercredi 26 juillet, l’Union africaine et la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) ont vivement condamné la tentative de coup d’État survenue au Niger. Les deux organisations ont également exhorté les responsables de cet acte à libérer immédiatement le président Mohamed Bazoum, légitimement élu. L’Union européenne s’est également jointe à cette condamnation en exprimant son inquiétude quant à toute menace pesant sur la stabilité démocratique du pays.
La Cédéao réagit avec fermeté
Dans un communiqué sans équivoque, la Cédéao a fermement condamné cette tentative de prise du pouvoir par la force. L’organisation a exigé la libération immédiate et inconditionnelle du président de la République et a mis en garde tous les acteurs impliqués dans l’acte, les tenant pour responsables de la sécurité et du bien-être du président, de sa famille, des membres du gouvernement et de la population en général.
L’UA appelle au retour à l’ordre constitutionnel
Parallèlement à la Cédéao, l’Union africaine a également exprimé sa condamnation de cette tentative de coup d’État. Elle a lancé un appel ferme aux militaires putschistes pour qu’ils regagnent immédiatement et sans conditions leurs casernes. L’ensemble de la communauté internationale suit de près la situation au Niger et reste attentive à l’évolution de la crise.
Une situation inquiétante pour la stabilité régionale
Face à cette situation de crise politique au Niger, l’Union européenne, par la voix de son chef de la diplomatie, a clairement indiqué sa préoccupation quant aux événements en cours à Niamey. Elle a réaffirmé son engagement en faveur de la préservation de la démocratie et de la stabilité dans la région.